- Deuxième round !

- Centre funéraire Boudrier : un ancrage prometteur

- Crématorium d’Orchies : une via Dolorosa

- Caveaux Stradal : l’autre bière des Irlandais

- Matériels et outillage Fimo : la cigale et la fourmi

- Chambre funéraire Pauly : raser pour reconstruire

- Capitonnages de l’Ouest : la fibre d’une spécialité

- Béziers : une ville qui booste - Un maire motivé - Un service à la pointe du funéraire

-Salon Funéraire Paris 2015 : programme pour réflexion collective

- Opinion : une  profession à exercer en famille...

-  Réseau : la profession de foi de Philippe Martineau

-  Journées Mutac : formation continue pour les partenaires

- Conjoncture de filière : les affaires se compliquent

- Gestion des relations humaines : les jeunes générations - Problèmes d’adaptation

- Deuxième round !

- Centre funéraire Boudrier : un ancrage prometteur

- Crématorium d’Orchies : une via Dolorosa

- Caveaux Stradal : l’autre bière des Irlandais

- Matériels et outillage Fimo : la cigale et la fourmi

- Chambre funéraire Pauly : raser pour reconstruire

- Capitonnages de l’Ouest : la fibre d’une spécialité

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-Salon Funéraire Paris 2015 : programme pour réflexion collective

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-  Réseau : la profession de foi de Philippe Martineau

-  Journées Mutac : formation continue pour les partenaires

- Conjoncture de filière : les affaires se compliquent

- Gestion des relations humaines : les jeunes générations - Problèmes d’adaptation

Nouvelles brèves

- Incendie à La Générale du Granit : la production ne sera pas affectée

- CNOF : victime de la parité

- Thanatopraxie : un petit sursis ?

- Thérapie en maison funéraire : le chien au chevet des endeuillés

- Nouvelle Zélande : un convoi extraordinaire

- Eté 2015 : la canicule a tué

- Archéologie : là aussi un clandestin

- Allemagne : cimetières mixtes

- Cendres sur la lune : les Américains remettent çà

- Agenda 2015

Législation

- Pompes funèbres musulmanes : portage du cercueil

- Autorisation pour pose de monument/accès des véhicules professionnels dans le cimetière/prérogatives du maire

- Chambre mortuaire/mise en bière immédiate

Doctrine administrative

- soins palliatifs - Soins de conservation du corps, décédés séropositifs

Salon Funéraire Paris : les véritables attentes des exposants

Sur base du questionnaire rempli par les exposants lors du dernier salon, en 2013, l’événement fait en majorité figure de rendez-vous important, incontournable et satisfaisant. Cependant, il existe aussi une proportion d’exposants moyennement satisfaits tout comme des décalages entre les attentes, les objectifs et les résultats.

Fidèle à ses objectifs d’intérêt général, le Salon a joué cartes sur table et nous a livré les chiffres qui permettent d’aborder avec nuances la réalité du vécu et du ressenti sur les stands. Et il y a des surprises…

Ethique :  pas de crémation sans rites adaptés !

L'Union Crématiste Européenne a adopté une position résolument favorable aux rites accompagnant la crémation, tournant ainsi le dos à une tradition minimaliste et à une méfiance parfois systématique à l’égard de l’accompagnement des familles par les professionnels funéraires.

La charte qu’elle a élaborée rejoint en grande partie les dispositions légales et réglementaires existant en France mais sans tomber dans les excès que nous connaissons dans le CGCT suite à la loi du 19 décembre 2008.

Schéma régional des crématoriums : échec et mat ?

La proposition de loi visant à instaurer un schéma régional des crématoriums, adoptée au sénat le 27 mai 2014 et déposée le lendemain au bureau de l’Assemblée Nationale est restée depuis en l’état, sans examen du texte par les députés. Afin de briser le blocage de son initiative, Jean-Pierre Sueur a déposé un amendement à la loi «Notre» dont le contenu, similaire au projet de loi, visait à contourner l’obstacle de l’Assemblée Nationale.

Cet amendement, créant l’article 12 bis, d’abord rejeté par les députés, puis de nouveau adopté par les sénateurs le 28 mai dernier, a finalement été supprimé en commission mixte parlementaire le 9 juillet dernier. L’avenir du schéma directeur des crématoriums se jouera donc à l’Assemblée Nationale et rien ne dit qu’il puisse aboutir…

Deux pour tous

- Nous avons reçu d’un client une annulation de sa commande d’un monument sous prétexte que la date de livraison n’a pas été respectée (prévue 15 juin et livraison possible début juillet), il nous réclame l’acompte versé. Peut-il annuler et est-on en droit de conserver l’acompte malgré l’annulation de sa commande ?

- Peut-on légalement retirer un monument posé sur une sépulture si nous faisons jouer la réserve de propriété incluse dans nos conditions générales de vente ?

- Une cliente envisage de demander une durée plus longue lors du renouvellement de sa concession est-ce possible ?

- Un client a un problème avec la concession qui jouxte la sienne. C’est une vieille sépulture où un if est planté et cela provoque des salissures et des mousses sur sa concession et il menace de tomber. Il en appelle au maire qui ne bouge pas, que faire ?

- Un hôpital dit aux parents  qu’ils peuvent transporter eux-mêmes le corps de leur enfant mort-né, mais un transport par professionnel habilité n’est-il pas requis ?

droit du travail : problèmes de personnel ? la solution existe

Entre le statut d’intermittent qui ne doit pas dépasser les 70 heures par mois, le statut d’auto-entrepreneur qui ne peut pas s’appliquer à des porteurs et le temps partiel qui doit couvrir un minimum de 24 heures par semaine, l’entreprise funéraire n’a plus vraiment d’autre recours possible que de faire appel à l’intérim.

C’est même souhaitable !

Transports de nuit : un piège à croque-morts !

D’une question posée dans le cadre de notre rubrique mensuelle, notre réflexion débouche sur cet article plus complet concernant la menace constante pesant sur les entreprises de pompes funèbres appelées la nuit par les familles. La justice a considéré qu’il y a démarchage si un acte commercial s’établit au domicile, même si c’est la famille qui a demandé au professionnel d’y venir. Par ailleurs, la répression des fraudes estime qu’on ne peut pas effectuer le transport sans avoir contractualisé commercialement en satisfaisant de surcroît l’obligation de double signature sur le devis d’une part et le bon de commande d’autre part. In fine, les familles peuvent tricher pour ne pas payer l’addition, surtout quand un concurrent marron leur donne des conseils «désintéressés»…