Funeraire Magazine - n°225 avril 2012

Sur les chemins de Compostelle…

Sur fond culturel basque ou cathare, une offre en monuments personnalisés et/ou porteurs de symbolique se structure dans les Pyrénées-Atlantique. D’un côté Suzanne lance près de Pau une gamme
en «semi prêt-à-porter» et de l’autre, depuis Hasparren, près de Bayonne, le sculpteur Régis Pochelu s’applique à créer du «sur mesure», à l’issue d’un entretien entre quatre yeux qui dépasse de très loin le rôle classique d’un vendeur de monument.
Voyage à travers le temps au coeur du sacré, quand la mort humaine s’inscrit dans une lignée reliant la terre aux étoiles…

Funeraire Magazine - n°225 avril 2012

L’autre indice d’excellence…

La cérémonie, l’accueil et la qualité de prise en charge, le corbillard, la chambre funéraire et les travaux de cimetière sont autant de piliers soutenant la réputation d’une entreprise de pompes funèbres.
Mais au-delà, c’est l’attitude générale de l’entreprise et surtout le traitement que son personnel réserve aux articles funéraires qui prouve l’existence d’une mentalité interne orientée vers le service.

Retour sur les produits exposés au Salon Funéraire Paris 2011

Funeraire Magazine - n°225 avril 2012

Un nouveau partenariat pour développer l’activité thanatopraxie

Depuis le 1er avril 2012, l’activité thanatopraxie du Groupe OGF a été confiée au spécialiste des
soins funéraires, Hygeco International. Cette nouvelle association entre ces deux acteurs majeurs des services funéraires redessine les contours de cette activité très spécifique et apporte un nouvel élan à la filière.

Funeraire Magazine - n°225 avril 2012

Questions d’achats et d’investissements

Les questions que le gestionnaire d'une entreprise de pompes funèbres se pose à propos de ses dépenses en achats et investissements.
La pertinence des décisions de dépense gouverne pour bonne partie la santé de l’entreprise.
Un petit survol de la question.

Funeraire Magazine - n°225 avril 2012

Deux pratiquantes s’adressent aux familles…

Dans la continuité du cycle des dossiers sur la maîtrise de cérémonie, voici l’exemple de deux femmes impliquées à différents niveaux dans la conduite des funérailles. La première est une professionnelle venue des Pays Bas pour proposer une nouvelle approche du métier de pompes funèbres et la seconde s’investit dans l’accompagnement des défunts et de leurs familles ensuite, au moment des funérailles. Deux forces de proposition susceptibles de faire avancer la réflexion avec deux textes que nous reproduisons ici et que vous pouvez mettre à disposition des familles si les circonstances du deuil le permettent.

Funeraire Magazine - n°225 avril 2012

“Rassembler ce qui est épars”

Partant d’une volonté d’action commerciale sur Strasbourg et sa région et en réaction à l’actualité concurrentielle dominée par la stratégie de développement des services funéraires de la communauté
urbaine de la métropole régionale, trois professionnels funéraires se sont tout d’abord unis en groupement professionnel. A partir de cette première initiative, conjuguant confiance et amitié, ces trois
professionnels ont poussé le bouchon jusqu’à créer un syndicat départemental des pompes funèbres du Bas-Rhin en novembre dernier.
Et maintenant, ils sont une quarantaine ! Décodage ici de cette aventure…

Funeraire Magazine - n°225 avril 2012

“Nous devons vendre un souvenir pas un monument...”

Maxime Senegats veut redonner du sens aux monuments qu’il fabrique.
Pour cela, il a engagé une réflexion sur le souvenir et s’est adjoint les services d’un designer pour créer une nouvelle collection de monuments funéraires et cinéraires.
Granitier par essence, il poursuit en parallèle la modernisation de son atelier.

Funeraire Magazine - n°225 avril 2012

Quand il n’est pas malade, pervers, dangereux, le fou est un moteur, une
mouche du coche qui fait avancer l’attelage.
Mais qu’est-ce qu’un fou ? C’est un être hors normes, inspiré par une idée ou
par un idéal sortant du rationnel.
Or le hasard des voyages nous a placé sur une diagonale de fous qui traverse
la France de Strasbourg à Bayonne.
A Strasbourg nous y avons découvert un groupe de pompes funèbres coalisées
en nouveau syndicat départemental.
Ce groupe se réfère à un code de déontologie qui pétille de nouveautés salutaires
puisqu’il contient des mesures de confraternité inspirées de pratiques
d’un autre âge, celui où les hommes étaient capables de bâtir des cathédrales
(voir page 18).
Plus au Sud et à l’Ouest, dans l’Aveyron et le Tarn, nous avons rencontré une
Hollandaise, Marietta, implantée en pompes funèbres depuis trois ans pour
promouvoir en milieu rural une conception originale d’assistance aux familles
touchées par un deuil, inspirée par une philosophie de vie.
Au-delà du «fou-rire» des débuts, elle a su gagner la confiance de la population
locale et l’estime des professionnels régionaux (voir page 22).
Et comme la folie est contagieuse, elle a trouvé sur son chemin Corinne Laveissière,
sculpteur en Aveyron qui, depuis son expérience personnelle d’accompagnement
des mourants et des familles, propose aujourd’hui une
méthode de célébration des funérailles civiles (voir page 26).
Les chemins de la folie nous ont ensuite mené en périphérie immédiate de Pau,
aux établissements Suzanne, où s’implique un retraité hors du commun,
Pierre-Yves Fontaine professeur d’arts plastiques. Son idée est de soutenir
qualitativement l’entreprise, son niveau d’emplois locaux et la culture spécifique
du funéraire à travers le développement d’une ligne de monuments cinéraires
à forte valeur symbolique (voir page 54).
Enfin, la cerise sur le gâteau, Rémy Pochelu est éducateur social près de
Bayonne quand il sculpte sa première pierre en 2004. C’est le coup de foudre
suivi d’une reconversion immédiate. Féru d’histoire locale, de culture basque
et d’art sacré, il crée depuis huit ans des espaces cinéraires et des tombes personnalisées
en conseillant les communes et en développant la tradition des
stèles discoïdales (voir page 50).
Voilà dans toute leur diversité un ensemble de personnes qui portent des espoirs
pour toute la filière funéraire.
Leurs engagements respectifs sont autant d’affirmations en faveur de la qualité
humaine. Ils méritent d’être soutenus tout comme ils viennent enchanter le
contenu de ce numéro.
Vive les fous ! Et pour répondre aux éventuels esprits chagrins, nous leur rappellerons
ce vieil adage chinois :
«Est fou celui qui se croit sage mais est sage celui qui se sait fou»…

Funeraire Magazine - n°225 avril 2012

- Edito : judicieuses folies

- Actualité syndicale : pompes funèbres du Bas-Rhin : “rassembler ce qui est épars”

- Cérémonial : deux pratiquantes s'adressent aux familles

- Dossier gestion : achats et investissements

- OGF/Hygeco International : un nouveau partenariat

- Salon Funéraire Paris : les articles funéraires

- 1 000 chambres de columbariums à Wattrelos

- Graniterie Gérard Senegats : “nous devons vendre un souvenir pas un monument”

- Monuments : sur les chemins de Compostelle

- Un cimetière privé contemporain

Funeraire Magazine - n°225 avril 2012

- Edito : judicieuses folies

- Actualité syndicale : pompes funèbres du Bas-Rhin : “rassembler ce qui est épars”

- Cérémonial : deux pratiquantes s'adressent aux familles

- Dossier gestion : achats et investissements

- OGF/Hygeco International : un nouveau partenariat

- Salon Funéraire Paris : les articles funéraires

- 1 000 chambres de columbariums à Wattrelos

- Graniterie Gérard Senegats : “nous devons vendre un souvenir pas un monument”

- Monuments : sur les chemins de Compostelle

- Un cimetière privé contemporain

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