Crémation : totems cinéraires

Cinis Vitae, nouvelle société fondée par Cyril Amouroux, Benoît Alcouffe, Jean Philippe Aznar et Olivier Audouy, de jeunes créateurs inspirés par la sculpture moderne, se sont saisis de cette idée du totem cinéraire composé d’urnes empilées et solidarisées.

Réseau : pourquoi ont-ils choisi Pascal Leclerc ?

Installée en pompes funèbres depuis trois générations sur l’agglomération de Nancy, la famille Guidon a opté pour la franchise Pascal Leclerc.  Pourquoi et comment ?

Formation : pratiquant mais pas interprète

Depuis cinq ans, Olivier Chefneux développe son action de formation auprès des professionnels, d’abord en nom propre et avec FCA depuis deux ans. Militaire de formation, il se tient à une stricte ligne de conduite en matière de respect de la réglementation et de la déontologie. Curieux par nature, il se veut également moteur d’évolution dans la filière. Portrait d’un électron indépendant.

Réseau : Fluctuat nec mergitur

Roc-Eclerc a organisé son meeting annuel en réunissant ses affiliés à Paris pour finir les travaux par une sympathique soi- rée repas sur bateau mouche le long de la Seine. Avec au programme le tirage au sort des gagnants du concours sur la prévoyance funéraire 2010/2011.

Architecture : «A vocation particulière conception unique»

Les architectes de l’Atelier Bertin, à Paris, sont capables de concevoir des bâtiments funéraires dans un créneau financier performant avec originalité et qualité. Pour Jacques Bertin, praticien expérimenté, le funéraire reste l’un des secteurs où la créativité architecturale a pleinement sa place. Si l’homme est unique et si son pays a une âme, alors le bâtiment qui abrite des moments fondamentaux de la vie doit, selon lui, se distinguer par une expression particulière.

Centre funéraire de Saint-Brieuc : révolution copernicienne

Le centre funéraire de la régie, sous la conduite de Nicolas Boudier recruté depuis quelques mois par Morgane Caerou, est en pleine montée en puissance sur le plan qualitatif.

Situé au 6 rue des champs de pies, à Saint-Brieuc, ce centre combine les services d’une chambre funéraire (huit salons dans deux ailes latérales) et un crématorium (locaux techniques en fond de bâtiment et salle centrale de cérémonie).

Cimetière : L’âme néerlandaise - 1ère partie : le dernier hommage

La visite du cimetière-crématorium de Westerveld, près de Harlem, en Hollande, révèle avec éloquence la sensibilité du peuple batave : nature, liberté, goût esthétique, créativité et sens artistique. Sur un site réellement enchanteur, la découverte en détail mériterait plusieurs jours d’investigation : richesse végétale, cérémonies de grande classe, convivialité extrêmement confortable, crémation très sensible ou inhumation personnalisée.

Une grande leçon funéraire à méditer partout en Europe.

dossier hygiène funéraire : les laboratoires post-mortem

Les laboratoires post-mortem ne sont pas encadrés que par les textes du CGCT. Nous vous invitions à découvrir ici des documents essentiels à connaître pour comprendre le raisonnement technique suivi par les pouvoirs publics. Un arrêté ce mois-ci et une circulaire le mois prochain.

Une bonne affaire ?

Le Voeu Funéraire (ou «le Voeu») a été vendu au cabinet Diot, lequel est lui
même une composante du groupe Burus d’origine alsacienne et suisse aujourd’hui.
Le capital du Voeu a été fortement valorisé à partir des années 90 par des affectations
de bénéfices lui permettant de passer, en 12 ans, de 3 millions de
francs à quelque 6 millions d’euros. Le montant de la vente tient compte, bien
entendu, de cette valorisation.
Or, quand on considère les quelques francs investis initialement par les heureux
bénéficiaires de la vente actuelle, qui se chiffre en millions d’euros, le rendement
en dividendes versés pendant des années et le produit de la vente
constituent un record historique !
Mais tournons désormais la page.
Diot assurances, donc aujourd’hui le groupe Burus, après avoir acheté la compagnie
ESKA et AFI Europe, après avoir pris une participation dans FAPE Obsèques
avec option dans le futur, contrôle désormais le Voeu Funéraire.
Ce n’est pas le fruit du hasard.
Les études marketing indiquent qu’il est possible d’apporter une cohésion aux
15 % du marché de la prévoyance funéraire détenus par les professionnels funéraires
et de faire ensuite bouger les lignes.
Jean-Pierre Sirugue en a rêvé quand il dirigeait le Voeu Funéraire pendant les
années fastes.
Cette fois-ci c’est un groupe industriel qui relève le défi.
Une concentration de moyens est en cours de formation.
Elle est aussi prometteuse que menaçante.
Prometteuse car elle nécessitera la valorisation du métier de pompes funèbres
auprès des extérieurs (finance et grand public). Menaçante car elle pourrait
aboutir, à moyen terme, non sur un monopole de l’assurance obsèques mais
sur celui de l’assistance obsèques (redistribution en aval des activités).
Bienvenue donc au groupe Burus car son achat du Voeu procède d’un assainissement
franc et salutaire.
Mais attention ! Bien qu’on ne puisse penser a priori qu’il prenne les entreprises
funéraires pour de dociles bêtes à cornes, il lui faudra néanmoins les
comprendre, les convaincre et passer avec elles un contrat de confiance générale
: une sécurisation totale des familles, une collaboration honnête et respectueuse
des professionnels funéraires et de vrais services sur toute la France
pour les partenaires financiers.
A ces trois conditions, il pourra devenir un acteur majeur du marché funéraire…

- dossier hygiène funéraire : les laboratoires post-mortem

- cimetière : L’âme néerlandaise

- Centre funéraire de Saint Brieuc

- Atelier Bertin : architecture et funéraire

- Meeting annuel Roc Eclerc

- Olivier Chefneux spécialiste de la formation

- Les P.F. Guidon ont choisi Pascal Leclerc

- Assemblée générale UPFP

- Cinis Vitae : totems cinéraires

- Le Choix Funéraire a fêté ses 20 ans