1992
2002
2003
2006
2007
2008
2009
2010
2011
2012
2013
2014
2015
2016
2017
2018
2019
2020
2021
2022
2023
2024
Funeraire Magazine
- n°206 mai 2010
Marc Papon est parti à la retraite après avoir eu la charge de milliers de stagiaires en vingt deux ans d’organisation de formations funéraires. La CPFM a organisé une réception en son honneur le 5 mai, dans une ambiance amicale et teintée d’émotion parmi l’équipe fédérale. Mais Marc a encore plus d’un tour dans son sac…
|
Funeraire Magazine
- n°206 mai 2010
Les adhérents du réseau Point Funeplus ont
vécu deux journées à Lyon en se projetant hors
de l’actualité immédiate.
Plusieurs exposés consacrés à la préparation
de leur avenir côté travail et des visites et dégustations
dignes de la tradition lyonnaise. Un
pied dans le futur, un autre dans le passé, pour
le meilleur profit de chacun.
|
Funeraire Magazine
- n°206 mai 2010
Parallèlement à la tenue du salon Tanexpo à Bologne fin mars et sur
invitation de Benjamin Rivaud, un groupe de professionnels français
a découvert le show room d’Intercar et son usine à Modène.
Récit essentiellement en photos d’un voyage où l’on déshabille sans
pudeur ni précautions les Maserati, les Rolls et autres bijoux à quatre
roues…
|
Funeraire Magazine
- n°206 mai 2010
Placé plusieurs années dans les cases réfrigérées des tribunaux successifs, le réseau Pascal Leclerc en ressort muni d’une victoire définitive en Cour de Cassation, notifiée depuis deux mois après audience publique du 19 janvier dernier.
(pourvoi n° Y 08-18-246). Fort des résultats d’une enquête de notoriété réalisée également en janvier dernier et d’une association avec des investisseurs spécialisés dans la franchise, Pascal Leclerc appuie désormais sur l’accélérateur.
|
Funeraire Magazine
- n°206 mai 2010
Mutac s’est alliée avec la Fondation De l’Avenir, spécialisée
dans le financement de la recherche médicale pour
mettre au point une formule de prévoyance funéraire
permettant de subventionner des programmes d’intérêt
scientifique.
Une évolution sur base de communication grand public
qui rejoint des pratiques déjà bien ancrées dans les pays
anglo-saxons.
|
Funeraire Magazine
- n°206 mai 2010
Qui regroupe qui aujourd’hui, sous quelle enseigne, depuis
quand et où ? Chaque réseau de pompes funèbres est présenté
dans ce répertoire sommaire à partir d’un questionnaire
envoyé à chacun d’eux.
|
Funeraire Magazine
- n°206 mai 2010
Le jeu est pipé depuis plusieurs années. Les plates formes d’assistance louchent sur
vos atouts et entraînent le marché dans un poker menteur.
Avant de perdre définitivement la main, les professionnels funéraires peuvent encore
revoir leur stratégie commerciale pour éviter que le marché glisse dans des mains défavorables à leurs intérêts. Sans nuire pour autant au soutien financier apporté par la prévoyance funéraire. Voir clair dans ce domaine, tel est le but ici …
|
Funeraire Magazine
- n°206 mai 2010
Alors même que beaucoup de régies sont passées sous statut de SEM pour
échapper aux excès de la tutelle étouffante des règles administratives, un nouveau
statut arrive qui cumulera en une seule structure, pour le meilleur mais
aussi pour le pire, les caractéristiques d’une société anonyme privée et d’une
administration entièrement dans les mains des collectivités territoriales.
La nouvelle société publique locale, SPL, a été définitivement adoptée par vote
du Sénat le 19 mai. Entre autres activités, elle concernera le funéraire en élargissant
éventuellement le périmètre d’intervention du secteur public.
Elle légalise aussi l’acquisition par les SPL d’une concession de service public
sans appel d’offre, donc sans mise en concurrence.
A priori on peut s’étonner qu’une telle mutation ait été votée par une majorité
de droite.
Or ici, pour comprendre les choses dans leur plus sauvage crudité et la raison
de cette unanimité politique, il faut se remémorer plusieurs images :
- la vue d’une bourgade dont les maisons de la rue principale sont à la limite de
l’état de ruine alors que la voie publique est richement décorée par les jardiniers
municipaux (luxe babylonien financé par les impôts locaux)
- la révolte des élus locaux lors du dernier salon des maires consécutivement à
la réforme des finances publiques (visite huée des ministres, absence de Nicolas
Sarkozy)
Il n’y a plus d’argent et le pays vit sous un double abus de standing, ce dont tout
le monde a conscience, à droite comme à gauche, dans l’esprit des élus qui réfléchissent
:
- un Etat tournant le dos aux capacités réelles de financement par le pays (déficit
de 1100 milliards d’euros en 2009 pour la seule gestion à la charge du gouvernement
alors que la fiscalisation des activités économiques diminue)
- en province la fonction publique a plombé les comptes nationaux avec un déficit
de 157 milliards d’euros en 2009 (régions, départements et communes) et 115
milliards la même année pour ce qui concerne les ministères (abus chez les
hauts fonctionnaires ?). Notre modèle social est au bord du gouffre avec un nombre
inquiétant de collectivités locales en quasi faillite.
La taxe professionnelle disparaissant, elle glonfle d’autant les incertitudes.
Alors que de nombreuses charges ont été transférées depuis deux ans par l’Etat
aux collectivités territoriales (sans contreparties suffisantes), la potion «SPL»
surgit providentiellement pour assurer de nouveaux revenus aux collectivités territoriales
en leur permettant de concurrencer le privé avec une supériorité indéniable
de moyens.
Une telle évolution ressemble à un projet d’épuration dissimulée des populations
de fonctionnaires et à un blanc seing pour envahir à n’importe quel prix n’importe
quel marché concurrentiel touchant à l’intérêt général.
Ainsi les PME paieront une fois de plus les pots cassés d’un système complètement
périmé, qui touchera le funéraire non pas du fait de services publics déméritants
ou dépassés, loin de là, mais à cause d’un mouvement général de
société où la peur des hommes politiques les empêche de régler courageusement
les maux accablant la société française.
Et qu’on ne nous cite pas ici l’Europe en exemple car si les SPL existent ailleurs,
ce n’est pas pour les mêmes raisons ni dans le même contexte…
|
|
Funeraire Magazine
- n°205 avril 2010
- chambre funéraire : restons zen !
- crématorium : un espace pour propulser l’humain
- assistance après les funérailles : les prestations de spécialistes chevronnés
- assemblée générale : profondément crématistes
- conférence débat : des questions utiles pour mieux maîtriser son avenir !
- le «lunatio», cimetière de Gertwiller
- corbillards : signe de réussite ou signe de professionnalisme ?
- conditions générales de vente et facturation, le véritable respect de l’endeuillé
|