Funeraire Magazine - n°217 juin 2011

Une nouvelle kouba au cimetière de Nogent-sur-Marne

L’Histoire est un éternel recommencement. La marbrerie E. L. Martin vient de démontrer la justesse
de l’adage en reconstruisant à l’identique, 90 ans plus tard, une kouba, à l’endroit même où l’arrière grandpère de Gilles Martin avait érigé la première, dans le cimetière de Nogent.

Funeraire Magazine - n°217 juin 2011

Salon Funermostra : adieu le funéraire à papa…

Funermostra 2011 reflète bien une Espagne en proie à la crise économique et malgré tout courageuse,
marchant résolument vers la modernité avec une pointe de fièvre crématiste.

Funeraire Magazine - n°217 juin 2011

Cérémonies civiles : demain la vocation funéraire

Les cérémonies civiles vont se multiplier et représenter ainsi la partie la plus pointue techniquement
et la plus sensible dans le savoir faire en funérailles.
Prendrez-vous le train en marche ? Dans ce premier volet du dossier, voici le contexte dans lequel une augmentation substantielle des cérémonies civiles exigera une évolution tout aussi marquée des connaissances possédées par les professionnels funéraires…

Funeraire Magazine - n°217 juin 2011

Saurez vous dire oui ?

Au terme de plusieurs expériences professionnelles dans la filière funéraire
pendant dix ans, c’est finalement au Mausolée que nous avons pu connaître un
partage passionné et passionnant pour les nobles spécialités du funéraire.
Nous y avons trouvé des complices. Citons essentiellement René Gargi, Louis
Vincent Thomas, Robert Reininger.
Ces «grands» nous ont appris par leur vie, leur humour, leur amour et leur intelligence,
à ne pas désespérer, à toujours revenir sans cesse sur le métier.
En marbrerie, tant René que Robert nous semblaient les dignes héritiers d’un
Platon commentant ainsi l’esprit du beau :
«Ce que j’entends ici par beauté de la forme n’est pas ce que le commun entend
généralement sous ce nom, comme par exemple celle des objets vivants ou de
leur reproduction, mais quelque chose de rectiligne et de circulaire, et les surfaces
et corps solides composés avec le rectiligne et le circulaire, au moyen du
compas, du cordeau et de l’équerre. Car ces formes ne sont pas comme les
autres, belles sous certaines conditions, mais toujours belles en soi…».
Au vu de cet idéal, comment qualifier les monuments d’hier et d’aujourd’hui
quand ils se contentent d’évoquer une mésange, un métier, un hobby ou un
foyer familial ?
Bien sûr, il ne s’agit pas ici d’une posture intellectuelle voulant surplomber la
culture populaire.
Mais le monument, quand il est incapable d’évoquer l’invisible, convient autant
à la crise du deuil qu’une paire de petits escarpins au service de grands pieds.
Même décalage entre le profane et le sacré dans les funérailles. Le message
d’un Louis-Vincent Thomas n’est pas souvent compris ou appliqué (rites de
mort pour la paix des vivants - Fayard 1985).
D’ailleurs, à l’heure où s’entame une réflexion de filière pour créer un CQP de
maître de cérémonie d’une part et la refonte du CAP de marbrier d’autre part,
on peut craindre que ces spécialités soient conçues comme on tamponne un
pot de moutarde avec un cachet de cire pour lui donner une allure officielle ou
pseudo historique.
En réalité, au-delà des effets de posture, êtes-vous disposé à relever le défi de
contribuer en votre rang et qualité aux efforts de chaque endeuillé dans sa crise
du deuil ?
Dans l’affirmative, allez vous dire oui quand nous vous entraînerons dans des
articles traitant de psychologie et de symbolique ?
Saurez-vous déborder le périmètre de ce que beaucoup de personnes considèrent
trop restrictivement comme le champ logique des connaissances nécessaires
à votre métier ?
Bien au-delà des réalités économiques, la portée humaine de votre quotidien
professionnel «crie» un besoin de plus en plus fort de sens. Ferez-vous la
sourde oreille ou répondrez vous à l’essentiel, comme par exemple dans l’organisation
d’une cérémonie civile ?…

Funeraire Magazine - n°217 juin 2011

Commémoratif : une nouvelle kouba au cimetière de Nogent-sur-Marne

Assemblées générales : C.P.F.M. - Funéris - C.S.N.A.F. - Crématistes

Réductions de corps : il faudra l’accord des plus proches parents

Cérémonies civiles : demain la vocation funéraire

Salon Funermostra à Valence : adieu le funéraire à papa...

Le site cinéraire du cimetière de Luitré

Salon Funéraire 2011 Paris : tout s’annonce bien

Funeraire Magazine - n°217 juin 2011

Commémoratif : une nouvelle kouba au cimetière de Nogent-sur-Marne

Assemblées générales : C.P.F.M. - Funéris - C.S.N.A.F. - Crématistes

Réductions de corps : il faudra l’accord des plus proches parents

Cérémonies civiles : demain la vocation funéraire

Salon Funermostra à Valence : adieu le funéraire à papa...

Le site cinéraire du cimetière de Luitré

Salon Funéraire 2011 Paris : tout s’annonce bien

Funeraire Magazine - n°216 mai 2011

Univers Carrier-Feige-Renaud
De la tradition de passementerie des années 20 au capiton de 2011,
la qualité en ligne droite d’une famille au service des entreprises de
pompes funèbres.

Funeraire Magazine - n°216 mai 2011

Constats insolites à Villefranche

Olivier Corolleur, propriétaire du Roc-Eclerc de Villefranche-sur-Saône, a développé son entreprise selon des critères locaux : une implantation à deux pas du marché (qui se tient quatre fois par semaine) et du dernier grand parking public gratuit, avec un grand choix d’articles funéraires à destination d’une clientèle de centre ville, le tout appuyé par un budget important de communication chaque année (environ 75 000 euros).

Funeraire Magazine - n°216 mai 2011

Le modèle à cinq pattes

On connaissait le mouton à cinq pattes, voici sa déclinaison dans la fabrication de cercueils.
Le professionnel de pompes funèbres envoie un dessin, FMR le scanne et par le biais d’un logiciel
gouvernant une défonceuse, le dessin est gravé dans la masse du bois.
Le tout est livré assez rapidement pour effectuer les obsèques.

Funeraire Magazine - n°216 mai 2011

Le petit «plus» qui déclenche la vente

Ne ratez plus de commandes pour de simples raisons financières.
La banque Solféa, partenaire de la Capeb, prolonge les talents de
l’artisan en lui donnant les moyens de financer en toute liberté les
chantiers de ses clients.
Et même de lui accorder un prêt à 0 % ou un échelonnement de paiement.

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N°326
10/2024
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