Funeraire Magazine - n°186 mai 2008
Depuis le 01 Janvier 2008, les tribunaux d'instance n'ont plus le droit de délivrer de certificats d'hérédité ou d'actes de notoriété, ce qui supprime la possibilité pour les familles de les obtenir gratuitement.
Funeraire Magazine - n°186 mai 2008
Les tombes répondent à des critères psychologiques qui datent de l'aube de l'humanité. Les connaître peut permettre de développer la créativité marbrière et de comprendre l'ordonnancement social de l'espace du cimetière.
Funeraire Magazine - n°186 mai 2008
Le réseau Le Choix Funéraire réagit contre les accusations qui ont été portées à son intention vis à vis de sa politique de partenariat avec les institutions financières. Jean-Pierre Sirugue dévoile ses projets de développement d'un nouveau type d'intermédiaire entre les institutions financières et les professionnels funéraires. Maurice Abitbol s'insurge contre les hypocrisies du système et contre les fausses vérités. Facultatieve Assurances propose une troisième voie et la Mutac rappelle le rôle des mutuelles dans le secteur de la prévoyance funéraire. Le dossier des contrats obsèques est donc loin d'être clos, avec la CPFM qui, de son côté, a engagé ses adhérents dans une vaste politique de communication mettant en valeur les atouts spécifiques des professionnels funéraires en la matière.
Funeraire Magazine - n°186 mai 2008
Les faits. Un entrepreneur a prétendu en réunion professionnelle que dans son département, on peut pratiquer les fermetures de cercueil sans respecter le délai des 24 h 00. Et d'insister ensuite par fax en reproduisant une page de doctrine juridique funéraire. Nous avons alors la désagréable surprise de constater sur ce fax que l'ouvrage en question reprend in extenso un extrait de l'instruction générale d'Etat Civil. Ses auteurs, pourtant très qualifiés, se sont gardés de commenter ce qui relève d'une coquille administrative pouvant entraîner des conséquences inadmissibles. Rappelons tout d'abord que cette instruction d'Etat Civil n'est qu'une circulaire et ne saurait contredire la loi. Il faut distinguer ce qui relève des règles professionnelles (déontologie) et ce qui relève de l'éthique, de la loi votée par les représentants du peuple français pour définir le socle des droits et devoirs s'imposant aux personnes. Pour ce qui concerne le délai des 24 h 00, certes le CGCT n'évoque que les termes d'inhumation ou de crémation. Or le respect de la vie humaine, fondé par l'article 16 du code civil, s'exerce dans une réalité médicale totalement distincte de la qualification administrative. En fait, seulement 2 % des constats de décès sont réalisés à l'appui d'une imagerie électronique (4 h 00 d'expectative dans le diagnostic par angiographie et 24 h 00 par diagnostic à l'aide d'encéphalogrammes plats). Le reste des diagnostics de décès (98 %) se base sur faisceau de présomptions du médecin (3 paramètres au moins sur 5). La nécessité de protéger la vie humaine entraîne ainsi, de facto, le respect d'un délai d'expectative de 24 h 00 pendant lequel on ne peut effectuer sur le corps un acte ruinant tout espoir de retour à la vie, comme ici la fermeture du cercueil. C'est pour cela que l'on parle depuis 1976 de transport à visage découvert, que les autopsies judiciaires et les moulages doivent attendre 24 h 00. En se basant uniquement sur l'émission du certificat médical et en occultant le respect du délai des 24 h 00, faute de certificat complémentaire relatif à un problème spécifique lié au cadavre, on réduit l'humain à sa seule dimension administrative. L'individu est alors scandaleusement rayé du registre des vivants par une gribouille au stylo et non par la preuve concrète de sa mort. La délivrance du certificat «bleu», qui n'est qu'une présomption attendant sa validation par l'évolution du corps, sert alors de justification pour les professionnels empressés. Dans ce cas, ni le silence du CGCT ni l'autorisation administrative ne sauraient protéger le professionnel fautif de violation d'une loi à valeur constitutionnelle...
Funeraire Magazine - n°185 avril 2008
- pompes funèbres : transmission en bonne intelligence - services funéraires : reprise en couronne sud de Paris - monuments importés : le salon en croque... - bon de commande : la loyauté comme règle - les préséances en funérailles à caractère public - Fédération Régionale des professionnels de la pierre : transmission de la flamme présidentielle - Ordre de la légion d'honneur : Méziane Benarab titulaire de la “rouge” - cimetière : dans les vallons wallons
Funeraire Magazine - n°185 avril 2008
Texte sacré. Utilisation publique. Ce texte forme une excellente introduction pour précéder les gestes symboliques de l'adieu.
Funeraire Magazine - n°185 avril 2008
- Licence professionnelle : fin provisoire ou définitive ? - Profanation d'Arras : deux poids deux mesures ? - Démographie : recul de la mortalité en 2007 - Management des services funéraires : un diplôme à l'échelle européenne - Grande Bretagne : le salon des vertes obsèques - Malaisie : lingerie fine pour les morts - Grippe aviaire : les nouvelles de mars - Allemagne : le scandale de mourir - Roc Eclerc : le réseau prêt pour la Toussaint
Funeraire Magazine - n°185 avril 2008
En Wallonie, cette partie francophone du sud de la Belgique, les nécropoles se montrent riches en symboles religieux, certes encore prééminents mais aussi en symboles qui rendent compte des anciennes activités de la région.
Funeraire Magazine - n°185 avril 2008
- Sortie d'urne d'un columbarium - Centre hospitalier et chambres funéraires - Simplification administrative : vacations - Formalités administratives sur les opérations funéraires - Dispersion des cendres en mer
Funeraire Magazine - n°185 avril 2008
Méziane Benarab a reçu la médaille de Chevalier de la Légion d'Honneur
Numéro en cours
N°323
05/2024
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