la pierre française n’a plus peur de l’étranger...

Le volume de nos exportations de roches ornementales
2010 ont enregistré une nette progresssion de 11 %. Signe
incontestable de la reprise du marché international, et, au
choix, du bon niveau de compétitivité de nos entreprises
et/ou de la qualité de leurs matériaux et savoir-faire.
Très longtemps jugées frileuses sur le marché international,
deux récentes manifestations, le salon de Xiamen et le Natural
Stone Show de Londres, entre autres, ont montré que
les entreprises françaises avaient de moins en moins de retenue.
Si cela est logique pour les grandes entreprises, habituées
aux joutes internationales, c’est un peu plus
nouveau pour des structures de plus petites dimensions.
La recomposition de la filière de production
que nous évoquions dans notre précédent
numéro, n’est pas complètement étrangère à ce phénomène, par la constitution
d’un grand groupe naturellement présent à l’international,
par la nécessité, pour d’autres, de se reconstituer un
marché et par l’émulation que ces mouvements ont déjà
créée.
La pierre française ne fait plus de complexes sur le marché
international. Elle a même une vraie place à y (re)conquérir,
avec des matériaux uniques, des savoir-faire de haut niveau
et une image de qualité qui ne se dément pas.
Ce n’est pas de la méthode Coué, c’est la réalité.