Philippe Berchon, Directeur d’ATI
Muller, fabricant spécialisé de fours
de crémation, n’y va pas par quatre
chemins : «avant de penser à
réformer la réglementation sur
les émanations de crématoriums
dans l’atmosphère, il faudrait déjà
que les règles françaises qui
prévoient notamment un maximum
de poussières et de monoxyde
de carbone soient respectées.
Si c’était le cas, peut-être qu’on
ne songerait pas dans un futur
immédiat d’astreindre
les crématoriums à investir dans
une ligne de filtration…».